12 janvier 2010

Les suites du vaccin contre la fausse pandémie...

Bonjour à tous et à toutes

J'ai reçu la lettre suivante qui vous intéressera probablement. J'en ai profité pour effectuer quelques recherches d'articles récents sur le sujet également inclus ci-après.

Je vous reviendrai prochainement pour vous parler d'une nouvelle initiative que je m'apprête à lancer et à laquelle vous voudrez bien, je l'espère, faire écho.

Je vous ferai également parvenir sous peu une Vigile spéciale pour la paix au Proche-Orient déjà disponible en 8 langues au http://www.earthrainbownetwork.com/FocusArchives/home.htm

À bientôt!

Jean Hudon
Coordonnateur du Réseau Arc-en-ciel de la Terre
http://www.EarthRainbowNetwork.com
et du Groupe focalisateur
http://www.earthrainbownetwork.com/FocusArchives/home.htm

Cette compilation est archivée au http://www.earthrainbownetwork.com/Archives2010/SuitesVaccin.htm

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From: Gilles Normand (gillesnormand522@hotmail.com)
Subject: Début de conséquences du vaccin GRIPPE A - 1 témoignage
Date: 11 Jan 2010

Je vous invite à lire un témoignage que j’ai reçu hier, d’une de mes correspondantes qui travaille comme technicienne en pharmacie dans un hôpital québécois. Lisez ce témoignage, écrit trois mois à peine après la vaccination du personnel médical. C’est édifiant.

« Je travaille dans un hôpital en tant que technicienne en pharmacie depuis 2008. Après votre passage à LCN (chaîne de TV québécoise, ndlr), j'ai décidé de faire mes recherches au sujet du vaccin sachant que je serais sûrement dans les premières vaccinées. Ce que j'y ai découvert m'a dissuadée de me faire vacciner. J'en ai parlé à mes collègues de travail pour les avertir du danger. Après m'avoir écoutée attentivement, ils ont couru se faire vacciner par peur de la grippette ! Et ce, même si nous avions eu beaucoup de cas aux urgences durant l'été et qu'une seule des techniciennes avait été malade (et peu malade) !

Aujourd'hui (4 janvier 2010), nous ne sommes qu'une petite poignée à avoir refusé cette vaccination. Et aucun d'entre nous n'a été malade ou est présentement malade. Nous nous portons à merveille, à part la fatigue du temps des fêtes bien sûr ! Le problème est plutôt dû au fait qu'au moins la moitié des « vaccinés » ont présentement des problèmes. Plusieurs toussent sans cesse, ont des symptômes d'allures grippales, des maux de tête persistants, des douleurs aux dents, mal de ventre, de l'insomnie... Une de mes collègues de travail, qui a déjà souffert d'anémie dans le passé, a commencé à saigner sous les ongles des pouces et a perdu quatre ongles d'orteil ! Bien sûr, personne ne soupçonne le vaccin ! Je commence à surveiller plus attentivement l'état de mes collègues qui sont parmi les premiers vaccinés au Québec. À ma connaissance, nous sommes le premier hôpital à avoir reçu les vaccins (l’Arepanrix de GSK avec le « maudit » squalène ASO3, bien indiqué sur la boîte, en plus du thimérosal). »

Par ailleurs, le frère d’une de mes connaissances de la ville de Québec a vu sa petite fille de neuf mois mourir dans les quinze jours qui ont suivi sa vaccination, tandis que son fils de deux ans développait un urticaire géant qui nécessita une hospitalisation lourde. Depuis lors, cet enfant a une liste interminable d’aliments qu’il ne peut plus manger (allergies multiples). Sa soeur, elle, repose à présent dans un cimetière où elle n'aurait pas dû se trouver. Et je ne vous parle même pas des centaines de femmes enceintes qui ont fait des fausses couches dans les heures qui suivaient leur vaccination. Croyez-vous que les autorités de santé ont reconnu la responsabilité possible du vaccin dans cette affaire qui a frappé cette jeune famille ? Croyez-vous que les médias se sont pressés à la porte du domicile des parents malheureux, comme ils l’ont fait, chaque fois qu’une personne mourait supposément de la grippe H1N1 ? Absolument pas. Quand les morts pouvaient faire vendre les vaccins, les journalistes charognards se jetaient sur eux comme les vautours sur un cadavre en putréfaction. Mais quand les morts pourraient faire douter de la sécurité des vaccins, plus aucune de ces charognes n’est au rendez-vous pour avertir le public des dangers des vaccins.

Bref, pour revenir à la catastrophe sanitaire, je pense que nous y verrons plus clair dans un an. Les aveux faits ce 7 janvier par l’agence européenne du Médicament m’ont mis en rage : l’hécatombe que nous avions annoncée est bien en train de se produire. Lisez vous-même : quand je vous répète qu’on nous ment et qu’on se fout de notre gueule, je crois que l’expression est faible. Les gouvernements nous tuent, de sang-froid, dans l’indifférence générale. En réalité, je crains que le nombre de malades de toutes sortes n’atteigne au moins 50 % du nombre des vaccinés. Je rappelle, si besoin en était, que ce sont 25 % des 730.000 GI’s vaccinés contre l’anthrax, avec un vaccin contenant du squalène, qui ont connu ce qu’on appelle le syndrome de la Guerre du Golfe, dans les mois qui suivirent la vaccination. Ce syndrome se caractérise par des troubles du système nerveux (fatigue chronique, troubles musculaires et articulaires, problèmes de mémoire, cancers du cerveau), par l'émergence de maladies auto-immunes (sclérose latérale amyotrophique, fibromyalgie) et par des troubles sévères de la reproduction (baisse de fertillité, malformation congénitale chez un pourcentage élevé des enfants, etc.). Je rappelle aussi que 19 ans après cette première guerre du Golfe, plus de 450.000 GI’s (âgés en moyenne de 39 ans) sont retraités pour cause de problèmes de santé !!! Normalement, on ne s’attend pas à un tel pourcentage de malades (60 %) chez des gens aussi jeunes, qui sont atteints au point d’être payés par le gouvernement pour ne plus rien faire ! Ce qu’ils avaient en commun ? Deux injections de dix vaccins différents reçus dans un intervalle de trois semaines, dont un vaccin contenant du squalène. Le même squalène dont nos gouvernements nous ont fait cadeau en cette fin d’année 2009 (voir, à ce propos, mon article consacré au squalène :

à +

Gilles

PS J'ai reçu ce témoignage de info@jean-jacques-crevecoeur.com - qui n'est en fait qu'un court extrait d'une longue lettre publiée le 7 janvier et disponible au http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=article&id=156:courriel-10&catid=65:grippe-a-h1n1&Itemid=98

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NOTE de Jean: Voici quelques autres infos que j'ai compilées pour faire le bilan de la situation...

Effets secondaires graves des vaccins "pandémiques" : l’agence européenne avoue
http://newsoftomorrow.org/spip.php?article7181
Dans son bulletin n°5 du 6 janvier 2010, l’agence européenne qui a autorisé le Pandemrix avoue : il y a eu moins de syndromes de Guillain-Barré notifiés qu’il n’y en avait de prévisibles [1] avec ou sans le vaccin dans la population vaccinée ! La sous-notification massive des effets secondaires est donc ainsi reconnue par l’autorité européenne, confirmant les inquiétudes exprimées par les experts indépendants au vu des 7 décès sur 2000 personnes piquées. Cet aveu de l’agence européenne vient confirmer officiellement les carences graves de la pharmacovigilance soi-disant "renforcée" que nous dénoncions dès le 7 décembre 2009 dans l’article : "Pandemrix : vaccin-miracle ou sérieux problèmes de pharmacovigilance ?"
Nous savons donc désormais officiellement que si "les données de pharmacovigilance sont rassurantes", c’est parce qu’elles sont un peu trop "rassurantes" pour être honnêtes. Plus de décès que prévu
En dépit de leur insuffisance, les chiffres européens constatent pourtant déjà 107 décès consécutifs à une vaccination au Pandemrix notifiés sur 21,6 millions de personnes piquées, au lieu de la douzaine prévisible sans vaccination [2]. Comment l’agence européenne et les autorités nationales peuvent-elles se permettre d’affirmer dans le même document qu’elles savent ne pas avoir connaissance de tous les effets secondaires graves et en dépit de cela conclure a contrario "que la balance bénéfice/risques continue d’être positive" SUR LA BASE DE DONNÉES QU’ELLES AVOUENT SAVOIR INCOMPLÈTES ??? Tous les effets secondaires ne sont pas notifiés et pourtant les effets secondaires déjà notifiés au niveau européen comprennent depuis le début plus de MORTS que prévisible. Combien, au total ? ON DOIT SAVOIR ! Et vite : chaque jour qui passe, des vies sont inutilement mises en danger par l’injection d’un vaccin probablement 10, 100, ou peut-être même 1000 fois PLUS dangereux que la grippe "2009" ! CLIP

Grippe A: "La différence d'effets secondaires entre les deux vaccins n'est pas significative" !!!
http://www.lepost.fr/article/2010/01/04/1870225_grippe-a-la-difference-d-effets-secondaires-entre-les-deux-vaccins-n-est-pas-significative.html
Alors que la polémique sur le surplus de vaccins fait rage, la campagne de vaccination anti grippe A continue. Et les doutes des citoyens sur l'inocuité des vaccins ne semblent pas totalement dissipés. C'est dans ce climat de défiance que l'Afssaps vient de publier un bilan des effets secondaires des deux vaccins principalement utilisés. Le Pandemrix a provoqué 3 fois plus de signalements d'effets secondaires que le Panenza, c'est le chiffre qui saute aux yeux à la lecture de l'article publié par Le Monde et reprenant les principaux éléments de cette étude.Comment expliquer une telle différence ? Les vaccins administrés sont essentiellement : - le Pandemrix (GSK, avec adjuvant, 3,7 millions de doses)- et le Panenza (Sanofi-Pasteur, sans adjuvant, 1,4 million de doses). Selon l'Agence française de sécurité des produits de santé (Afssaps), sur les cinq millions de personnes vaccinées contre la grippe H1N1 depuis le 21 octobre, 2 600 effets indésirables ont été signalés tout vaccins confondus, ainsi que deux décès pour lesquels un lien avec le vaccin n'a pas été retenu. Le Pandemrix a donné lieu à 2 390 signalements d'effets indésirables (soit 6,5 pour 10 000) tandis que pour le Panenza, qui a commencé à être utilisé plus d'un mois après, 258 effets indésirables (1,8 pour 10 000) ont été notifiés. CLIP

Signalements sur vaccins H1N1 : 8 cas de mort intra-utérine (1er janvier 2010)
http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-signalements-sur-vaccins-h1n1-8-cas-de-mort-intra-utérine-depuis-le-début-_2431.htm
Le dernier bilan de pharmacovigilance de l’Afssaps du 30 décembre, fait état, sur une base de 5 millions de vaccinations de 2.657 signalements d’effets indésirables, de 8 cas de mort intra-utérine, dont 3 nouveaux cas cette semaine et de 5 cas de fausse couche spontanée, quelques jours après vaccination. clip

Grippe A : mauvais canular ! (5 janvier 2010)
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article7163
Des révélations dérangeantes pour les affairistes qui gouvernent. Selon Nutrition.fr une enquête conduite par des journalistes américains révèle que la plupart des cas attribués avant juillet à la grippe A ( H1N1 ) n’étaient pas dus au virus. Selon une enquête de la chaine américaine CBS News, qui a duré 3 mois, la majorité des cas de grippe A (H1N1) recensés aux Etats-Unis au moins jusqu’en juillet n’étaient pas de la grippe A. En fait, il ne s’agissait même pas de grippe. En juillet dernier, les Centers for Disease Control ( CDC), chargés aux Etats-Unis de la gestion des maladies infectieuses et chroniques ont conseillé aux Etats de ne plus pratiquer systématiquement de test pour s’assurer de la présence du virus H1N1 en cas de symptômes grippaux et d’arrêter de décompter les cas individuels. Le CDC cherchait ainsi à faire des économies dans un contexte où l’on considérait que l’épidémie était de toute façon installée et que toute fièvre accompagnée de toux et des symptômes de la grippe était a priori provoquée par la souche A (H1N1). Cette directive n’a pas été suivie unanimement, certains Etats continuant de pratiquer des tests et des décomptes, ne serait-ce que pour pister une éventuelle mutation du virus.les journalistes de CBS ont demandé aux 50 Etats américains leurs propres statistiques sur la base des diagnostics biologiques confirmés. Les résultats sont stupéfiants : la grande majorité de « grippe A » ne l’étaient pas : les tests pour le virus H1N1 étaient négatifs. Ils étaient tout aussi négatifs pour les virus de la grippe saisonnière. Cela en dépit du fait que dans de nombreux États on a testé des patients fébriles sur la foi de leurs symptômes, mais aussi de leurs facteurs de risque, comme le fait d’avoir voyagé au Mexique. CLIP

Un bilan de campagne très positif (7 janvier 2010) LE QUÉBEC, UN PARADIS POUR LES PUSHERS DE VACCINS!
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2010/01/07/003-H1N1-bilan-jeudi.shtml
La deuxième vague de la pandémie de grippe A (H1N1) a pris fin et devrait être la dernière. C'est ce que le ministre de la Santé du Québec, Yves Bolduc, a expliqué jeudi en conférence de presse.« Compte tenu du taux de vaccination contre la grippe A (H1N1) et compte tenu du fait que les personnes ayant eu la grippe sont maintenant protégées, nous considérons fort peu probable l'arrivée d'une troisième vague », a-t-il déclaré. Le ministre en a profité pour tirer le bilan de cette campagne. Un bilan plus que positif, a-t-il souligné, saluant une « excellente organisation du réseau de santé » et l'efficacité du déploiement des mesures de précaution.Il a aussi rendu hommage à la réactivité et à la mobilisation des Québécois et des Québécoises qui ont été près de 4,4 millions à se faire vacciner, soit 57 % de la population. La réactivité de la population a permis d'enrayer la transmission du virus, a-t-il indiqué.(...) La fin de cette pandémie donne le signal du démarrage de la campagne de vaccination de la grippe saisonnière. Celle-ci commencera le 11 janvier sur le même modèle que la campagne de 2009.Pour se faire vacciner contre la grippe saisonnière, il faudra s'adresser à son médecin ou se rendre dans un CSSS. Comme c'était le cas l'an dernier, a expliqué le directeur national de santé publique du Québec, le Dr Alain Poirier, qui participait aussi à la conférence, le vaccin sera gratuit pour les populations dites « à risque »: nourrissons entre 6 et 23 mois, adultes de plus de 60 ans, personnes souffrant de maladies chroniques.Le vaccin sera aussi gratuit pour les travailleurs de la santé. Au total, a précisé M. Poirier, près de 2 millions de personnes recevront le vaccin sans payer.

Quatre cas de grippe A (H1N1) durant les Fêtes au Québec (6 janvier 2010) UNE PANDÉMIE QUI N'A JAMAIS EU LIEU MAIS QUI A PERMIS DE METTRE $200 MILLIONS DANS LES POCHES DE GLAXOSMITHKLINE
http://sante.canoe.com/channel_health_news_details.asp?channel_id=2001&relation_id=3483&news_channel_id=2001&news_id=4854&rid=
Signe que la deuxième vague de la pandémie tire à sa fin, seulement quatre cas de grippe A (H1N1) ont été confirmés durant le temps des Fêtes au Québec, dont deux dans la région de Québec. C’est ce qu’indique le Dr Guy Boivin, spécialiste des maladies infectieuses au Centre hospitalier de l’Université Laval, qui n’a diagnostiqué que quatre cas positifs sur les 600 tests effectués entre le 27 décembre 2009 et le 2 janvier 2010. «C’est très tranquille, a-t-il commenté. La deuxième vague a dû se terminer probablement à la mi-décembre.» CLIP

Grippe A(H1N1) - Plus de peur que de mal (6 janvier 2010)
http://www.ledevoir.com/societe/sante/280505/grippe-a-h1n1-plus-de-peur-que-de-mal
En période de pandémie, la démesure a-t-elle meilleur goût que la passivité? La question, qui tourmente la France en plein raz-de-marée politique, est pertinente pour tous les gouvernements, y compris celui du Québec. Retour sur une pandémie. Elle a trôné au sommet de tous les bilans de 2009, partout associée à une épreuve ayant causé plus de peur que de mal: la grippe A(H1N1). La crise sanitaire appréhendée a cédé le pas, en France par exemple, à une impasse politique, les uns accusant les autres d'avoir joué avec démesure la carte de l'épouvante, laissant derrière des millions de vaccins inutilisés, un mince filet de population immunisé et une facture astronomique. Au Québec, on s'enorgueillit du taux de vaccination qui figurerait parmi les plus élevés au monde, seule la Suède ayant prémuni 60 % de sa population (au Québec, ce pourcentage s'élève à 57 %). Depuis le printemps, lorsque l'Organisation mondiale de la santé a décrété l'état de pandémie, la gestion de cette crise s'est opérée en direct. On peut désormais dire que ce virus, moins agressif qu'on ne l'avait d'abord cru, ne causera aucune hécatombe.Un peu partout sur le globe, en certains points bien davantage que d'autres, des vaccins dorment en entrepôt, et les gouvernements doivent justifier des achats massifs, en apparence impulsifs, et de puissantes campagnes de publicité surfant sur des ingrédients tels la peur. Cette semaine, Québec doit dresser son premier inventaire: il a estimé les coûts de l'opération pandémie à quelque 200 millions de dollars, mais seul le détail de la facture permettra de vérifier si cette estimation n'était pas... famélique.Déjà, comme l'évoquait hier Le Devoir, certaines pertes difficiles à quantifier font surface, ce qui compliquera d'autant l'exercice final de calcul. (...) Si la campagne de peur n'a pas fait vibrer les Français, les Québécois, eux, ont massivement répondu à l'appel. Les médias, force est de le reconnaître humblement, ont abusé, à leur traditionnelle manière, de cette dimension sensationnelle. On s'en rappelle: avant l'assurance politique des dernières semaines, une certaine confusion régnait, alimentant le climat d'inquiétude: la population fut d'abord sceptique, puis on parla de pénurie de doses avant même leur disponibilité, on craignit ensuite l'avance du virus sur le vaccin, puis on appela à un certain sens de la solidarité et à une dose d'altruisme pour inciter les gens à se protéger, non pas pour eux, mais pour les autres. Par rapport à l'agitation panique des premiers temps, les dernières semaines offrent le portrait d'une population rangée, docile et solidaire. CLIP - Plutôt une bande de moutons apeurés!!

Grippe H1N1: a-t-on paniqué pour rien? (5 Janvier 2010)
http://blogues.cyberpresse.ca/edito/?p=2257
Dans le dossier de la grippe H1H1, «les gouvernements ont-ils cédé à la panique?», s’interroge le correspondant du Devoir à Paris, Christian Rioux. En France, seulement 8% de la population a été vaccinée, contre 55% au Québec. Dès le début de la campagne de vaccination, le corps médical manifestait son scepticisme. Celui-ci s’est transmis à la population. CLIP

Le H1N1 moins contagieux que d'autres virus pandémiques (5 janvier 2010)
http://sante.canoe.com/channel_health_news_details.asp?channel_id=2001&relation_id=3483&news_channel_id=2001&news_id=4849&rid=
L'A (H1N1) se révèle nettement moins contagieux que les virus qui ont causé d'importantes épidémies à l'échelle planétaire par le passé, selon les travaux de virologues américains et britanniques publiés dans la dernière livraison du New England Journal of Medicine. De cette étude il ressort que les risques de contracter la grippe A (H1N1) sont d'un sur huit pour qui habite avec une personne contaminée. Les enfants sont toutefois deux fois plus susceptibles d'attraper le virus. CLIP

L'OMS continue de recommander la vaccination contre la grippe H1N1 (6 janvier 2010)
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5giPDomR4Leqv0ituEtsQeycpHNNQ
GENEVE — L'Organisation mondiale de la santé (OMS) continue de recommander la vaccination contre la grippe H1N1 et a annoncé que sa directrice Margaret Chan avait elle aussi été vaccinée fin 2009, a indiqué mardi une porte-parole."Nous continuons de recommander la vaccination", a indiqué Fadela Chaïb, porte-parole de l'OMS, à l'issue d'un point de presse à Genève.Mme Chan avait reconnu le 29 décembre devant la presse qu'elle n'était pas encore vaccinée en faisant valoir qu'elle revenait de congés. Elle a été vaccinée le lendemain, a précisé Mme Chaïb. CLIP

H1N1 : Les dollars de la grippe porcine (07/01/2010)
http://www.tekiano.com/tek-life/ness/5-8-1591/h1n1-les-dollars-de-la-grippe-porcine.html
La directrice de l'Organisation Mondiale de la Santé ne s’est pas fait vacciner contre le H1N1. Normal, puisque des canadiens l’assimilent à la grippe saisonnière de 2010. Et certains se font des milliards grâce à la grippe porcine. Depuis quelques mois, l’industrie pharmaceutique a battu tous les records de vente concernant le Tamiflu, principal remède, face au virus H1N1. Entre la découverte de lots de vaccins contenant du mercure, la sur-médiatisation de cette affaire et l’avis mitigé des scientifiques et médecins quant au choix de se faire vacciner ou pas, cela nous amène forcément à nous poser quelques questions sur cette psychose qui a secoué du jour au lendemain la planète entière. A commencer par l’OMS…En effet, à la date du 29 Décembre dernier, le Dr Margaret Chan, directrice de l'Organisation Mondiale de la Santé ne s’est elle-même pas encore fait vacciner ! Interrogée par des journalistes à Genève, la directrice de l’OMS a déclaré : «J'ai demandé à mon service médical de s'informer sur l'endroit où je peux me faire vacciner». Afin de justifier ce « terrible oubli », Mme Chan a prétendu qu’elle était en congé. Pas de quoi encourager les plus sceptiques à s’immuniser… CLIP

OMS : le « pape de la grippe A » accusé de corruption (16 DÉCEMBRE 2009)
http://www.voltairenet.org/article163315.html
On le surnomme « Dr Flu » (Docteur Grippe), le professeur Albert Osterhaus est le principal conseiller de l’Organisation mondiale de la Santé face à la pandémie de grippe H1N1. Depuis plusieurs années, il prédit l’imminence d’une pandémie globale et ce qui se passe aujourd’hui semble lui donner raison. Cependant, le scandale qui a éclaté aux Pays-Bas et fait l’objet d’un débat au Parlement a mis en évidence ses liens personnels avec les laboratoires fabriquant les vaccins qu’il fait prescrire par l’OMS. F. William Engdhal relate comment un expert peu scrupuleux a pu manipuler l’opinion publique internationale, surévaluer l’impact de la grippe H1N1, et faire la fortune des laboratoires qui l’emploient. CLIP

Succès ou piège (6 janvier 2010)
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/opinions/editoriaux/201001/05/01-936453-succes-ou-piege.php
(Québec) La pandémie conséquente à la contagion par le virus H1N1 n'a pas décimé la planète. Du moins, pas encore. Mais compte tenu du succès de la vaccination au Québec et au Canada, la probabilité d'une hécatombe ici est totalement écartée. Or pour certains, ce n'est pas la satisfaction d'avoir évité le pire qui prime, mais plutôt la frustration découlant du sentiment d'avoir été manipulés et d'avoir vu les gouvernements dépenser massivement pour répondre à une menace grossièrement exagérée.Certains réclament une enquête publique. Là aussi... Les autorités de la santé ont-elles été manipulées par les pharmaceutiques? Ou pire, y a-t-il eu collusion entre celles-ci et les autorités mondiales de la santé pour créer cette psychose rentable? Il y a au moins des questions légitimes à poser quant aux mesures d'évaluation de la virulence d'une souche de la grippe. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment reconnu que le virus H1N1 était beaucoup moins mortel que celui de la grippe aviaire. Par ailleurs, aurait-il été suffisant de n'immuniser que les clientèles à risque plutôt que de procéder à une vaccination généralisée? CLIP

La psychose de grippe H1N1 aurait-elle été organisée ? (8 janvier 2010)
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-psychose-de-grippe-h1n1-aurait-67801
« Ils ont organisé la psychose ! » Cette phrase sentencieuse fait la une du journal l’Humanité. A l’intérieur, on trouvera une interview avec son auteur, le professeur Wolfgang Wodarg. Résumé de l’article : « Révélation : président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg accuse les lobbies pharmaceutiques et les gouvernants. Il a obtenu le lancement d’une enquête de cette instance sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de panique autour du virus. Entretien sans détour.« Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commission santé du Conseil de l’Europe une commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les Etats… »Autant dire que nous nous dirigeons vers un pandémigate. Que dit Wodarg ? En fait que l’alerte pandémique a été déclenchée de manière intempestive et inappropriée. Sur la base d’informations lacunaire provenant de Mexico. Je me souviens très bien du contexte, ayant eu l’occasion de suivre cette affaire grippale en m’improvisant reporter spécial pour Agoravox. Le 30 avril 2009, avant même le déclenchement du niveau 6, je titrais ceci« Les incertitudes de la science face à la grippe porcine engendrent-elle une pandémie psychique ? (...) La presse de masse n’a pas comploté c’est certain, mais elle a péché par légèreté et paresse, peu encline à trouver des voix dissonantes, obtempérant comme un seul homme au service de la version officielle, exactement comme la presse US au moment de l’invasion en Irak. Or, en 2009, on savait que le virus ne serait pas un micro-organisme de destruction massive. Y a-t-il eu connivence entre labos et gouvernements ? C’est possible mais dire que les labos pharmaceutiques ont orchestré tout cela, c’est comme affirmer que la montée du nazisme a été produite par les industriels allemands. C’est faux, ils n’ont fait que participer en espérant quelques profits. L’analyse de la pandémie H1N1 est plus contrastée. Vous savez où la trouver. Il y a des tas de complicités sans connivence directe. Une ruse de la Peur dirait Hegel. L’essentiel est peut-être dans la déclaration du niveau 6 de pandémie par Mme Chan. Il suffit de lire mais les médias préfèrent commenter les propos d’un Sarkozy, même s’ils sont sans intérêts. Attention citoyen, derrière le plan de l’OMS se dessine un embryon de gouvernance mondiale.

Grippe A? : l’enquête qui pourrait révéler l’intox
http://www.humanite.fr/article2758249,2758249
Le Conseil de l’Europe met les pieds dans le plat en décidant d’examiner l’influence exercée par les grands laboratoires dans la promotion d’une campagne de panique destinée à pousser les pouvoirs publics à l’achat massif de vaccins. Le tintamarre mondial autour de la vaccination contre la grippe A (H1N1) n’était-il finalement qu’une formidable opération d’intox déclenchée par les grands laboratoires pharmaceutiques avec la complicité de certains gouvernants? C’est cette question que va se poser très sérieusement le Conseil de l’Europe, à Strasbourg, qui vient de lancer une commission d’enquête sur ce thème et prévoit d’en faire un « débat d’urgence » lors de son assemblée parlementaire de janvier. CLIP

La pandémie H1N1 dévoile le système d’asservissement des masses (11 janvier 2010)
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-pandemie-h1n1-devoile-le-67960
La technique est dévoilement a dit Heidegger. Cette formule est d’une si haute vérité que peu l’ont comprise. La pandémie orchestrée par l’OMS est un phénomène de technique sanitaire. Elle est donc porteuse de son cortège de dévoilements sur les actions humaines. (...) Le masque est tombé en 2009. Maintenant, nous en savons un peu plus sur que ce que nous savions auparavant. Les élites n’agissent pas forcément pour l’intérêt public. Elles méritent la défiance des citoyens. Les élites trompent les citoyens qui hélas sont sans défense car ils n’ont plus les ressorts politiques pour les représenter. Il n’y a qu’à voir le consensus entre UMP et PS sur le climat, la grippe, la finance (avec un ? sur le PS) La partie est perdue. Car les masses pleutres sont complices des élites et ne sont pas prêtes à changer le système. Un procès d’un genre nouveau pourrait s’instruire. S’il y a tant de chômeurs, de déficits, d’injustices, la faute en incombe autant aux élites qu’aux masses citoyennes et à la bourgeoisie. C’est une mauvaise nouvelle. Nous savons que l’inertie sociale, l’ignorance des classes, est le principal obstacle à l’avènement d’une société plus juste. Les élites peuvent continuer à prospérer et abuser les peuples ouvertement sans craindre d’être destituées.

Syndrome depressif et TAMIFLU - Le même phénomène a été observé au Japon qui en a interdit la prescription pour les enfants...
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article7121
"Déclaration au centre de pharmacovigilance de Marseille : je suis appelé en garde pour une jeune femme cloitrée chez elle qui a un comportement bizarre. Je demande à son mari de l’amener au cabinet (procédure locale). Cette jeune femme n’a aucun ATCD psychiatrique et est plutôt bonne vivante. Elle a présenté un syndrome grippal traité par son médecin par TAMIFLU 2x/j pendant 5 jours (la patiente a arrêté le traitement prescrit 7 jours). 48H après l’arrêt est apparu en moins de 24H un Sd dépressif caractérisé isolé avec idées suicidaires et élaboration pour y parvenir : prise de médicaments. La patiente est terrorisé et pense être devenu folle (dixit). Laissée au domicile avec entourage fiable (pas de traitement). 48H après disparition quasi complète des signes."

Le gouvernement veut couvrir la France de matières radioactives ?
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article7206

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Tiré de: http://www.humanite.fr/2010-01-07_Societe_Grippe-A-L-implacable-requisitoire-du-depute-Wodarg

Grippe A. L’implacable réquisitoire du député Wodarg

le 7 janvier 2010

Président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg a obtenu le lancement d’une enquête de cette instance sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de panique autour du virus.

Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commisionn santé du Conseil de l’Europe une commision d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les états..

Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A ?

Wolfgang Wodarg. Nous sommes confrontés à un échec des grandes institutions nationales, chargées d’alerter sur les risques et d’y répondre au cas où une pandémie survient. En avril quand la première alarme est venue de Mexico j’ai été très surpris des chiffres qu’avançait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour justifier de la proclamation d’une pandémie. J’ai eu tout de suite des soupçons : les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type « grippal ».

En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé début mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. Car on a pu observer que des gens âgés de plus de 60 ans avaient déjà des anticorps. C’est-à-dire qu’ils avaient déjà été en contact avec des virus analogues. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs il n’y a pratiquement pas eu de personnes âgées de plus de 60 ans qui aient développé la maladie. C’est pourtant à celles là qu’on a recommandé de se faire vacciner rapidement.

Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et de l’autre des faits très curieux. Comme par exemple la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ça n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. Il y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque années, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, « complétant » les vaccins servant à la grippe saisonnière.

On ne l’a pas fait car on a préféré utiliser des matériaux vaccinales brevetés que les grands laboratoires avaient élaborées et fabriqué pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées

Quel danger ?

Wolfgang Wodarg. Pour aller vite dans la mise à disposition des produits on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit : on a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela.Uniquement des raisons de marketing.

Comment a-t-on pu justifier de cela ?

Wolfgang Wodarg. Pour comprendre il faut en revenir à l’épisode de la grippe aviaire de 2005 - 2006. C’est à cette occasion là qu’ont été définis les nouveaux plans internationaux destinés à faire face à une alarme pandémique. Ces plans ont été élaborés officiellement pour garantir une fabrication rapide de vaccins en cas d’alerte. Cela a donné lieu à une négociation entre les firmes pharmaceutiques et les Etats. D’un côté les labos s’engageaient à se ternir prêts à élaborer les préparations, de l’autre les Etats leur assuraient qu’ils leur achèteraient bien tout cela. Au terme de ce drôle de marché l’industrie pharmaceutique ne prenait aucun risque économique en s’engageant dans les nouvelles fabrications. Et elle était assurée de toucher le jack pot en cas de déclenchement d’une pandémie.

Vous contestez les diagnostics établis et la gravité, même potentielle, de la grippe A ?

Wolfgang Wodarg. Oui, c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne provoque qu’un dixième des décés occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie.

Ce sont de très graves accusations que vous portez là. Comment un tel processus a-t-il été rendu possible au sein de l’OMS ?

Wolfgang Wodarg. Un groupe de personnes à l’OMS est associé de manière très étroite à l’industrie pharmaceutique.

L’enquête du conseil de l’Europe va travailler aussi dans cette direction ?

Wolfgang Wodarg. Nous voulons faire la lumière sur tout ce qui a pu rendre cette formidable opération d’intox. Nous voulons savoir qui a décidé, sur la base de quelles preuves scientifiques, et comment s’est exercé précisément l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la prise de décision. Et nous devons enfin présenter des revendications aux gouvernements.

L’objectif de la commission d’enquête est qu’il n’y ait plus à l’avenir de fausses alertes de ce genre. Que la population puisse se reposer sur l’analyse, l’expertise des instituions publiques nationales et internationales. Celles ci sont aujourd’hui discréditées car des millions de personnes ont été vaccinés avec des produits présentant d’éventuelles risques pour leur santé. Cela n’était pas nécessaire. Tout cela a débouché aussi sur une gabegie d’argent public considérable.

Avez-vous des chiffres concrets sur l’ampleur de cette gabegie ?

Wolfgang Wodarg.

En Allemagne ce sont 700 millions d’euros. Mais il est très difficile de connaître les chiffres précis car on parle maintenant d’un côté de reventes de vaccins à des pays étrangers et surtout les firmes ne communiquent pas, au nom du principe du respect du « secret des affaires » les chiffres des contrats passés avec les Etats et les éventuelles clauses de dédommagements qui y figurent.

Le travail de « lobying » des labos sur les instituts de santé nationaux sera-t-il aussi traité par l’enquête du conseil de l’Europe ?

Wolfgang Wodarg. Oui nous nous pencherons sur l’attitude des instituts comme le Robert Koch en Allemagne ou Pasteur en France qui aurait dû en réalité conseiller leurs gouvernements de façon critique. Dans certains pays des institutions l’ont fait. En Finlande ou en Pologne, par exemple, des voix critiques se sont élevées pour dire : « nous n’avons pas besoin de cela ».

La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants ?

Wolgang Wodarg. Dans les ministères cela me paraît évident. Je ne peux pas m’expliquer comment des spécialistes , des gens très intelligents qui connaissent par coeur la problématique des maladies grippales, n’aient pas remarqué ce qui était en train de se produire.

Que s’est-il passé alors ?

Wolfgang Wodarg. Sans aller jusqu’à la corruption directe qui j’en suis certain existe, il y a eu mille manières pour les labos d’exercer leur influence sur les décisions. J’ai pu constater très concrètement par exemple comment Klaus Stöhr qui était le chef du département épidémiologique de l’OMS à l’époque de la grippe aviaire, et qui donc a préparé les plans destinés à faire face à une pandémie que j’évoquais plus haut, était devenu entre temps un haut cadre de la société Novartis. Et des liens semblables existent entre Glaxo ou Baxter (etc) et des membres influents de l’OMS. Ces grandes firmes ont « leurs gens » dans les appareils et se débrouillent ensuite pour que les bonnes décisions politiques soient prises. C’est à dire celles qui leur permettent de pomper le maximum d’argent des contribuables.

Mais si votre enquête aboutit, ne sera-t-elle pas un appui pour les citoyens d’exiger de leurs gouvernements qu’ils demandent des comptes à ces grands groupes ?

Wolfgang Wodarg. Oui, vous avez raison, c’est l’un des grands enjeux lié à cette enquête. Les états pourraient en effet se saisir de cela pour contester des contrats passés dans des conditions, disons, pas très propres. S’il peut être prouvé que c’est la prise d’influence des firmes qui a conduit au déclenchement du processus alors ils faudra les pousser à ce qu’ils demandent à être remboursés. Mais ça c’est uniquement le côté financier, il y a aussi le côté humain, celui des personnes qui ont été vaccinés avec des produits qui ont été insuffisamment testés.

Quel type de risque ont donc pris, sans qu’ils le sachent, ces gens en bonne santé en se faisant vacciner ?

Wolfgang Wodarg.

je le répète les vaccins ont été élaborés trop rapidement, certains adjuvants insuffisamment testés. Mais il y a plus grave. Le vaccin élaboré par la société Novartis a été produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui.

CLIP - LIRE LE RESTE AU http://www.humanite.fr/2010-01-07_Societe_Grippe-A-L-implacable-requisitoire-du-depute-Wodarg

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VOIR AUSSI...

Grippe A. Les labos s’agrippent à leurs contrats (7 janvier 2010)
http://www.humanite.fr/2010-01-07_Societe_Grippe-A-Les-labos-s-agrippent-a-leurs-contrats
Après l’annonce par le gouvernement de résilier une partie des commandes de vaccin, les labos négocient en vue d’être indemnisés. Au Parlement, des explications sont attendues.Le gouvernement espérait un geste de la part des laboratoires, c’est raté. Après les juteux contrats de près de 900 millions d’euros signés en 2009, ils entendent bien obtenir des compensations pour l’annulation des commandes de vaccins. CLIP

Les chiffres non avoués de la Pandémie (7 janvier 2010)
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-chiffres-non-avoues-de-la-67799?debut_forums=200
La pandémie n’a pas eu lieu. Certains scientifiques et quelques rares politiques l’avaient pourtant annoncé en regardant simplement les faits. Mais les experts et le gouvernement ont été pris dans une spirale de la peur. Rien n’a pu faire flancher cette irrépressible volonté de vacciner en masse. On les a tous vu. Tel jour avec une mutation, tel autre avec la mort d’une petite fille et enfin encore tel autre jour avec des annonces de 18 morts en un week-end. Le bilan est donc à la mesure de cette pandémie de la peur. On a donc vacciné en masse. 4.9 millions de français se sont amassés en quelques jours autour des centre de vaccination mal conçus et très chers au final. Une ardoise de 2.5 milliards d’euros pour éviter 200 morts. Une vaccination enfin décrédibilisée et ceci est à mes yeux l’une des conséquences les plus néfastes qui soit. Il sera difficile demain de demander aux français de se faire piquer pour des raisons pandémiques… Au-delà de ce constat, il faut probablement réfléchir à ce qu’il s’est passé et également aborder le principe de ce bénéfice/risque vaccinal pour une grippe qui tuait peu. C’est d’ailleurs ici que sera discuté pour la première fois des chiffres concernant la mortalité liée au vaccin. Ces chiffres n’ont été explicités nulle part ailleurs CLIP



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